Fils qui nous unissent: rencontre artistique collective avec l'artiste salvadorienne Teresa Cruz à l’Université Western
L'Université Western accueillera l’artiste brodeuse salvadorienne, actuellement en résidence, pour un rassemblement artistique collectif les 2 et 3 octobre. L'atrium du bâtiment FIMS and Nursing (FNB) se transformera en un studio où les participant·es contribueront à la création d’une grande tapisserie de résistance.
Les participant·es sont invité·es à broder un petit morceau de cette tapisserie. À travers le geste lent et réfléchi de la broderie, l'artisanat devient à la fois un acte de solidarité et de défiance contre le fascisme, la suprématie blanche, l'autoritarisme, la montée des attaques contre les personnes transgenres et les communautés 2SLGBTQIA+, ainsi que la persistance de la misogynie. Chaque point est personnel et collectif – une image, un mot ou un symbole de résistance – intégré dans une toile plus vaste qui unit des luttes communes.
Les étudiant·es, les enseignant·es et membres du personnel sont les bienvenu·es pour créer un œuvre d’art qui résiste autant qu’elle soigne, peu importe leur niveau d’expérience en broderie.
Il s’agit d’un évènement collaboratif en accès libre: arrivée à tout moment, début d'une nouvelle pièce ou continuation d'une pièce laissée par un·e autre participant·e. Les artistes Soheila K. Isfahani,Tricia Johnson et Kayla McInnes seront également présentes lors du rassemblement.
Détails de la rencontre
Évènement: Fils qui nous unissent-Rencontre d'art collectif-Accès libre
Date et heure: Jeudi 2 octobre (10h00-16h00) et Vendredi 3 octobre (9h00-12h00)
Lieu: Bâtiment FIMS and Nursing (FNB), Université Western
L'événement est coparrainé par la Faculté d’études de l'information et des médias; la Chaire Rogers d'études en journalisme et nouvelles technologies de l'information; les départements d'anthropologie, des arts visuels, des langues et cultures, let d'études sur le genre, la sexualité et les femmes; le projet Mémoire survivante dans l’après-guerre au Salvador, le projet CRSV au Libéria et le Museo de la Palabra y la Imagen au Salvador. Il est financé en partie par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH).